Festival « Les arts dans la rue » 2ème édition et 2ème journée

Publié le 10 juillet 2008

Vendredi 11 juillet 2008

11h et 14h30 : Danse jeune public Êphe et Ïna, au Théâtre Jean Lurçat.

Le duo ‘Êphe et Ïna’ est librement inspiré, de manière sensorielle, du roman Océan mer d’Alessandro Baricco.
De courts modules de danse permettent de varier à volonté les thèmes, les styles et de provoquer rêves, étonnements et surprises, d’autant plus que ce duo est proposé dans un temps et un lieu imprévu dans le parcours vers l’art de la vie d’une personne. Cela crée de l’inattendu, une rencontre insolite avec la danse contemporaine.

12h et 18h30 : Radio Festival, place Tabard.
Radio animée par Vlad et Ructor Vigo deux fois par jour : ils réaliseront les interviews des artistes présents sur le festival, annonceront le programme de la journée en nous faisant partager leur humour décapant.

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16h : Magie douce, place de la libération
Orgue de barbarie et prestidigitation

17h : Flora, colporteuse de mots, jardins en terrasses de la Tour de l’horloge.

Parleuse ambulante transportant avec elle des mots glanés ici et là. Elle les entrelace pour en faire des histoires, des paroles, des rêves… « Elle arrive d’on ne sait où… Elle est là, on ne sait trop pour quoi… On dit Que c’est le vent qui la pousse… Qu’elle raconte des drôles de choses… Qu’elle fait rire et pleurer à la fois… En tout cas, quand elle est là, on ne s’ennuie pas !

19h : Ructor Vigo, one man show, place Tabard

Ructor Vigo nous présente son one man show totalement déjanté où il se perd dans les limbes de son imagination.
Muni d’une simple valise en carton, l’artiste se retrouve dans des situations souvent ubuesques
Mais Ructor Vigo est avant tout un grand rêveur : tantôt burlesque, tantôt grave, le comédien aime jouer avec les mots et n’hésite pas à pousser la chansonnette dès que l’occasion se présente.
Un spectacle à découvrir en famille et à surtout ne pas prendre au premier degré.

20h : Jean-François Prin, « Une histoire d’accordéon », place Espagne

Dans Une histoire d’accordéon…, il nous fait découvrir le ‘new bayan’, une couleur sonore inédite qui mélange toutes sortes de styles et de genres musicaux tel que le Tango, la Valse, la bossa nova, la chanson populaire…
Dans Accordéon do Brazil, il revisite la musique brésilienne, au travers des standards de Jobim, Hermeto Pascoal, Gilberto Gil, mais aussi Galliano, Lavilliers, Nougaro…

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21h : « Le balltrap est un sport convivial » par L’Institut Bancal, cinéma Le Colbert.

Compagnie de Cabarionnette rock, bricolages survoltés et poésie aléatoire.
Petite définition non exhaustive : Théâtre d’objets à la saveur électrique, rouleurs de fragiles mécaniques, fabricants d’absurdités, marionnettes débridées (comme un souvenir de mobylette sans pot catalytique), V.R.P du sentiment trouble, plasticien du polyacrylate, du chêne noir et du bas nylon, mélodie suave mais intrusive du quotidien, techniciens de la défragmentation du spectre zygomatica…

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22h : Cinéma en plein air, Les aventures du baron de Münchausen, réalisé par Terry Gilliam, site du Chapitre.

Le siècle des Lumières. Une ville s’apprête à succomber sous les assauts des Turcs. Seul le théâtre royal est encore debout où comédiens et machinistes s’échinent à donner un spectacle potable mais invariablement hué par les spectateurs. Ils présentent ce jour-la « Les Aventures du baron de Münchausen » quand au beau milieu d’une scène, un vieillard se lève et revendique l’identité du baron de Münchausen. Il propose alors aux habitants incrédules de chasser les Turcs. Pour ce faire, il leur demande de l’aider à retrouver ses quatre anciens compagnons d’aventures.

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